Je lis « réserve naturelle de poudreuse », ok, c’est une jolie formule marketing, on va pas se plaindre d’une neige plutôt abondante. Je lis « le skieur évolue dans un environnement préservé », bof, l’argumentaire est limite, car si on a de la chance d’avoir un environnement boisé et enneigé qui fait « joli tout plein », il ne tient pas pour les boulevards qui ont été taillés à coup de bulldozers. Je lis « le domaine des Portes du Soleil … intègre trois réserves naturelles », là je dois dire non, car il n’y a aucune intersection entre le domaine de ski en question et ces espaces protégés (terme plus approprié d’ailleurs). L’article est monté pour faire croire que le skieur va slalomer entre forêts et alpages de ces espaces protégés … et pourquoi pas rencontrer un Tétras lyre. On sait bien que ces espaces protégés et ces domaines de ski ne peuvent faire bon ménage, mécaniquement si j’ose dire.